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QU’EST-CE QUE LA VITICULTURE BIO ?

La viticulture bio est un mode de production qui respecte, entretient et améliore la terre, préserve la qualité de l’air et de l’eau, et favorise la biodiversité. Le vigneron bio porte une attention particulière aux équilibres dans l’écosystème dans lequel évolue son vignoble, que ce soit la vie microbienne dans le sol, la résilience des vignes ou bien encore la santé d’autrui. Ainsi, le vigneron bio favorise l’expression des terroirs dans son vin, de manière authentique et éthique.

La viticulture bio est un mode de production qui respecte, entretient et améliore la terre, préserve la qualité de l’air et de l’eau, et favorise la biodiversité. Le vigneron bio porte une attention particulière aux équilibres dans l’écosystème dans lequel évolue son vignoble, que ce soit la vie microbienne dans le sol, la résilience des vignes ou bien encore la santé d’autrui. Ainsi, le vigneron bio favorise l’expression des terroirs dans son vin, de manière authentique et éthique.

Les pratiques et méthodes

Être certifié en viticulture biologique implique de respecter la réglementation européenne sur la production biologique qui interdit l’usage de pesticides de synthèse, d’engrais chimiques et d’OGM.

Le vigneron bio n’utilise alors pas de solutions chimiques dures, qui impactent fortement les équilibres naturels et sont souvent suspectés d’être nocives envers leurs utilisateurs.

Pour protéger la vigne de ses ravageurs, il est utilisé plusieurs moyens : les prédateurs naturels, les matières minérales naturelles, les cultures de micro-organismes amies, les préparations à base de plantes médicinales.

Parmi les matières minérales naturelles se trouvent les sels de cuivre dont l’utilisation est limitée par la certification bio : 28 kg de métal par hectare sur une période lissée de 7 ans, soit une moyenne de 4 kg par an. Dans la pratique, la moyenne est très souvent inférieure aux maximas autorisés.

Le vigneron bio adapte son utilisation de matière minérale naturelle au risque sanitaire de l’année et cherche également à la limiter en contrôlant la vigueur de ses vignes par les différents travaux de l’année (taille, liage, ébourgeonnage, palissage, vendange en vert).

La qualité du sol occupe une place primordiale en culture biologique.

Les efforts portent sur la juste utilisation du labour, la culture d’engrais verts ou de l’enherbement naturel, et l’incorporation de matières riches d’origine naturelle.

Ces pratiques stimulent la vie du sol, favorisent l’enracinement en profondeur des vignes, permettant de tirer toute l’expression de terroirs divers et variés aux quatre coins de l’appellation de Champagne, pour le plus grand plaisir des amateurs de vins.

Un sol respecté est un sol qui retient les excès d’eau de pluie, ne pollue pas les réseaux d’eau naturels et artificiels par érosion et accueille une biodiversité riche.

L’Agriculture Biologique est le seul label d’état interdisant l’utilisation d’herbicide, dont l’usage nuit gravement à la vie des sols et la qualité de l’eau.

Les pratiques et méthodes

Être certifié en viticulture biologique implique de respecter la réglementation européenne sur la production biologique qui interdit l’usage de pesticides de synthèse, d’engrais chimiques et d’OGM.

Le vigneron bio n’utilise alors pas de solutions chimiques dures, qui impactent fortement les équilibres naturels et sont souvent suspectés d’être nocives envers leurs utilisateurs.

Pour protéger la vigne de ses ravageurs, il est utilisé plusieurs moyens : les prédateurs naturels, les matières minérales naturelles, les cultures de micro-organismes amies, les préparations à base de plantes médicinales.

Parmi les matières minérales naturelles se trouvent les sels de cuivre dont l’utilisation est limitée par la certification bio : 28 kg de métal par hectare sur une période lissée de 7 ans, soit une moyenne de 4 kg par an. Dans la pratique, la moyenne est très souvent inférieure aux maximas autorisés.

Le vigneron bio adapte son utilisation de matière minérale naturelle au risque sanitaire de l’année et cherche également à la limiter en contrôlant la vigueur de ses vignes par les différents travaux de l’année (taille, liage, ébourgeonnage, palissage, vendange en vert).

La qualité du sol occupe une place primordiale en culture biologique.

Les efforts portent sur la juste utilisation du labour, la culture d’engrais verts ou de l’enherbement naturel, et l’incorporation de matières riches d’origine naturelle.

Ces pratiques stimulent la vie du sol, favorisent l’enracinement en profondeur des vignes, permettant de tirer toute l’expression de terroirs divers et variés aux quatre coins de l’appellation de Champagne, pour le plus grand plaisir des amateurs de vins.

Un sol respecté est un sol qui retient les excès d’eau de pluie, ne pollue pas les réseaux d’eau naturels et artificiels par érosion et accueille une biodiversité riche.

L’Agriculture Biologique est le seul label d’état interdisant l’utilisation d’herbicide, dont l’usage nuit gravement à la vie des sols et la qualité de l’eau.

L’impact social

Les effets positifs sur la santé de l’humain (à moyen et long terme) ont déjà été évoqués précédemment, autant pour les membres des domaines viticoles que pour les riverains.

Aussi l’attention et la précision attendues par la viticulture biologique demandent aux domaines d’employer davantage de personnes à l’hectare et de travailler aux rythmes de la nature constamment. Ceci est nécessaire afin de maintenir par la qualité d’un travail soigné les meilleures conditions sanitaires pour une maturation optimale des raisins. L’entraide entre vignerons est également une pratique renaissante. Ainsi sont favorisés des rapports humains précieux pour la pérennité des domaines viticoles.

L’impact social

Les effets positifs sur la santé de l’humain (à moyen et long terme) ont déjà été évoqués précédemment, autant pour les membres des domaines viticoles que pour les riverains.

Aussi l’attention et la précision attendues par la viticulture biologique demandent aux domaines d’employer davantage de personnes à l’hectare et de travailler aux rythmes de la nature constamment. Ceci est nécessaire afin de maintenir par la qualité d’un travail soigné les meilleures conditions sanitaires pour une maturation optimale des raisins. L’entraide entre vignerons est également une pratique renaissante. Ainsi sont favorisés des rapports humains précieux pour la pérennité des domaines viticoles.

Bio et biodynamie

La base est identique pour ces deux modes de production, en effet la certification Agriculture Biologique est un pré-requis demandé avant de s’engager dans une certification en biodynamie. Celle-ci utilise en complément des préparations naturelles spécifiques et tient compte de l’influence cosmique. Ces logos attestent qu’un produit respecte les cahiers des charges Demeter ou Biodyvin de l’agriculture biodynamique. Pour en savoir plus : www.bio-dynamie.org

Pour en savoir plus :

Bio et biodynamie

La base est identique pour ces deux modes de production, en effet la certification Agriculture Biologique est un pré-requis demandé avant de s’engager dans une certification en biodynamie. Celle-ci utilise en complément des préparations naturelles spécifiques et tient compte de l’influence cosmique. Ces logos attestent qu’un produit respecte les cahiers des charges Demeter ou Biodyvin de l’agriculture biodynamique. Pour en savoir plus : www.bio-dynamie.org

Pour en savoir plus :

 Le travail de la vigne

Le sol est la première préoccupation en culture biologique.

Les efforts portent sur le labour, les engrais verts, l’enherbement et le compost.

Ces pratiques stimulent la vie du sol et permettent d’en tirer toute l’expression du terroir, pour le plus grand plaisir des amateurs de vins.

Les spécificités des vignerons bio les amènent à employer généralement davantage de personnes à l’hectare, afin de maintenir par la qualité d’un travail soigné les meilleures conditions sanitaires pour une maturation optimale des raisins.

La conduite de la vigne est réfléchie et adaptée en fonction des impératifs définis par la réglementation de l’AOC Champagne, en ayant à cœur de privilégier un développement harmonieux de la végétation.

La taille est le travail primordial, dont tous les autres découlent (attachage, ébourgeonnage, palissage). Ces travaux sont réalisés manuellement et adaptés aux cépages.

Pour protéger la vigne de ses ravageurs, le vigneron bio peut utiliser plusieurs moyens : prédateurs, matières minérales naturelles comme le soufre, bactéries amies, plantes médicinales…

Contre le mildiou, les sels de cuivre sont employés en doses réduites, avec une limite de 28 kg de métal par hectare pour une période de sept années, soit une moyenne de 4 kg par an. Dans la pratique, cette moyenne est très souvent inférieure aux maximas autorisés.

Comme pour tous les producteurs champenois, les vendanges sont obligatoirement manuelles, afin de déposer sur les pressoirs des grappes entières et intactes.

 Le travail de la vigne

Le sol est la première préoccupation en culture biologique.

Les efforts portent sur le labour, les engrais verts, l’enherbement et le compost.

Ces pratiques stimulent la vie du sol et permettent d’en tirer toute l’expression du terroir, pour le plus grand plaisir des amateurs de vins.

Les spécificités des vignerons bio les amènent à employer généralement davantage de personnes à l’hectare, afin de maintenir par la qualité d’un travail soigné les meilleures conditions sanitaires pour une maturation optimale des raisins.

La conduite de la vigne est réfléchie et adaptée en fonction des impératifs définis par la réglementation de l’AOC Champagne, en ayant à cœur de privilégier un développement harmonieux de la végétation.

La taille est le travail primordial, dont tous les autres découlent (attachage, ébourgeonnage, palissage). Ces travaux sont réalisés manuellement et adaptés aux cépages.

Pour protéger la vigne de ses ravageurs, le vigneron bio peut utiliser plusieurs moyens : prédateurs, matières minérales naturelles comme le soufre, bactéries amies, plantes médicinales…

Contre le mildiou, les sels de cuivre sont employés en doses réduites, avec une limite de 28 kg de métal par hectare pour une période de sept années, soit une moyenne de 4 kg par an. Dans la pratique, cette moyenne est très souvent inférieure aux maximas autorisés.

Comme pour tous les producteurs champenois, les vendanges sont obligatoirement manuelles, afin de déposer sur les pressoirs des grappes entières et intactes.

illustration vigne